Forum RPG de fantasy médiévale |
L'avenir des peuples dépendra des peuples.
Le Peuple de l'Avenir, lui, dépendra de l'Avenir...
[Louise Abraham]
Par les Chutes ! Quand il fallait gagner une bataille, l’Histoire ne retenait pas l’honneur. L'Histoire retenait le vainqueur. [Adriano Di Marechialo]
L'amer est l'écume du souvenir. [Camiy Saint-Syr]
Ils me reprochent d’abuser de la crédulité des gens. Pourtant, mon
métier est semblable à celui du berger: j’élève des moutons dans le but
de les tondre… [Ometeotl Jahar] Il vaut mieux se retrouver devant des Orcs en colère plutôt que devant
des nobles et des politiciens. Quand un Orc veut te tuer, il le fait
savoir clairement et, généralement, sous tes yeux.[Barry Toothpick] Miséricordieux, j’avalerai vos supplications, délices de ma victoire ! [Rubis Solime De Babaux]
Le proverbe "Il faut battre le fer tant qu'il est encore chaud" marche aussi avec les elfes... [Walgrim Grindal]
Litanie de larmes, symphonie en pleurs majeurs. Rater une mesure,
repartir à zéro. Mélodie funeste. Danse macabre, l’effleurer et puis
s’en retourner pleurer. Seul. [Sheren]
Il suffit d’un seul regard entre deux coups de hache et quelques têtes coupées pour que leurs destins soient scellés à jamais. [Kalea Grindal]
Ma soif de vengeance s’est tue dans un murmure : Le silence… [Cronose]
Le pire n'est pas de mourir, mais d'être oublié. [Erwan D. Layde]
Il n'existe ni de mauvais, ni de bon, Seulement des divergences d'opinion. [Isarus]
La maîtrise d'une épée doit être apprise,
exercée et maitrisée. Le jeune apprenti du forgeron ne commence pas par
forger une belle épée pour le prince. L'apprentie tapissière ne tisse
pas le tapis préféré de la reine avec ses premiers fuseaux. Ainsi, le
rhéteur fait ses premiers discours à son miroir et le soldat se bat
d'abord contre un mannequin, et non contre son ennemi mortel. [Maël Theirmall]
L'Harmonie passe aussi par la Diversité, tel le ciel embrasé d'une soirée d'été. [Laranith]
Un par un, il traîna les corps jusqu’à la falaise et les jeta à la mer afin de leur offrir une sépulture rapide... Et afin de libérer la
clairière de ces putrides émanations. La nature n’avait pas à contempler
la folie des hommes. Elle n’avait pas à supporter la barbarie des êtres
qu’elle avait un jour engendré... [Trucid]
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| | Le journal d'un lycan | |
| | Auteur | Message |
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Cronose
Messages : 67 Date d'inscription : 19/03/2012
| Sujet: Le journal d'un lycan Mar 17 Avr - 1:27 | |
| A titre de précision, l'histoire que je décris là reprend les évènements majeurs de la vie de Cronose. C'est un mélange d'idées rassemblées au cours de ses dix dernières années, mêlé aux rp clés (avec de lourdes modifications) qui définissent tout ce que représente mon personnage actuellement. Pour les passionnés de lecture, j'ai tenté d'y mettre un maximum d'immersion, si jamais j'ai des lecteurs, n'hésitez pas à me faire part de votre avis, toutes critiques est bonnes à prendre quelles soient positives ou négative s;) (bien sûr, je compte poursuivre l'histoire, qui s'arrête de façon un peu abrupt mais marque la fin de l'introduction). Sur ce, à bientôt | |
| | | Idriale Êlenaur
Messages : 25 Date d'inscription : 22/03/2012
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Mar 17 Avr - 14:22 | |
| Alors vieux lycan,
L'introduction puis le préambule nous mettent rapidement dans l'ambiance je trouve. On s'attend vraiment à un de ces contes héroïque par la suite. Le cumul des mots astres, infini, galaxie lointaine me fait penser à Albator mais là je pense que c'est simplement un soucis personnel. xD
Par la suite, quelques tournures m'accrochent un peu l'oreille " son avenir fut tracé à peine qu’il eut gonflé", j'aurai dis "à peine eut-il" le que alourdis un peu la phrase. "ce n’était pas le but de tous ses efforts ?" étant donné l'interrogation "n'était-ce pas" me paraît plus correct. "-Ok, ça me fait une belle jambe…" le Ok me gêne un peu en rapport à l'époque mais après tout nous n'y étions pas pour savoir. Pareil pour "-Mouai…" encore que cela me choque moins. Nouvelle question de préférence mais "cela" passerait mieux que "ça" dans une ou deux phrases.
Quelques petites erreurs "Les flammes zébraient les ombres nimbés aux alentours. Singulièrement, elle évoquait" où tu passes d'un pluriel à un singulier. "en fait son père était peut-être belle et bien devenu sénile. " => bel "Je me rappel de ces mots" => rappelle Quelques autres mini fautes d'accord mais qui ne m'ont pas gênée outre mesure. A part ça certaines virgules me paraissent en trop dans les phrases, l'absence de quelques unes fluidifierait un peu à mon sens. Pour finir, je trouve qu'il y a un peu trop de répétition de Croc Noir parfois d'une ligne sur l'autre.
Je regrette un peu le manque de description de ce que peuvent ressentir les personnages mais les dialogues (qui sont plutôt bien construits) permettent quand même d'assez bien imaginer ce qu'il en est grâce à certains mots qui semblent appuyer la situation ( le père qui lâche un s'il te plaît etc). Sinon, ça se lit tout seul, on a envie d'en savoir plus et surtout sur ce dont parlait le père. On a du mal à comprendre pour le moment le revirement qu'il semble avoir vis à vis de sa meute. Qu'est-ce qui le pousse à agir ( ou à ne pas agir?) Au final, il est mort? disparu? changé en crapaud? (Ce qui veut dire qu'il va falloir répondre à ça un jour où tu va avoir une lectrice insatisfaite dans sa curiosité!)
En attente de ta suite puisque c'est toujours un plaisir de lire.
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| | | Cronose
Messages : 67 Date d'inscription : 19/03/2012
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Mar 17 Avr - 14:31 | |
| Si je révélais tout d'un coup il n'y aurait plus d'effet de surprise, ce qu'est devenu le père où ce qu'il disait, ne sera révélé que plus tard dans l'histoire :p
En tout cas, merci pour ta critique. Tu me fais remarquer des erreurs, que je vais me faire un plaisir de corriger, c'est après tout en écoutant les conseils des autres que l'on s'améliore ^^
Je prend note également en ce qui concerne les descriptions sur les personnages, c'est vrai que j'ai mal balancé les transitions: dialogues:contextes.
Je vais y remédier pour donner plus de vie à mon histoire.
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| | | Walgrim Grindal
Messages : 82 Date d'inscription : 18/03/2012 Age : 32
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Ven 20 Avr - 12:02 | |
| Salut salut,
Bon, je n'ai lu que le premier chapitre et le début du deuxième, je lirai la suite plus tard mais il y a déjà des choses que je dois dire.
Bon, déjà, niveau texte et tout, l'histoire est bien racontée, originale, je n'ai rien à dire là dessus, c'est franchement bien, on a envie d'en savoir plus.
Par contre, niveau forme ... Déjà, quand on voit ton post au premier abord, je te le fais en deux mots : pavé monochrome. Franchement, l'absence de couleur ni rien, c'est, je trouve, horrible à voir. Si l'histoire n'était pas aussi bien, je n'aurai pas été au delà du premier paragraphe. Si tu veux un conseil, mets un petit peu de couleur dans tes dialogues, pour différencier les paroles des différents personnages et tout. La mise en forme quoi, je trouve, de mon avis tout à fait personnel, que ça donne envie de continuer à lire, pas autant que le contenu mais quand même, ça joue beaucoup.
Voilà, mon avis, c'est surtout cette mise en page qu'il faudrait améliorer.
Je lirai la suite et commenterai plus tard le reste je pense ( quand j'aurai le courage d'y laisser mes yeux X.x ) | |
| | | Cronose
Messages : 67 Date d'inscription : 19/03/2012
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Ven 20 Avr - 12:22 | |
| Merci pour tes remarques Walgrim. Je suis déjà en train de retravailler mes textes, que j'éditerais plus tard. Je prend tes conseils en compte, bien évidemment.
(j'essaye déjà de renforcer les dialogues dans la suite de l'histoire)
En tout cas, je suis content que tu ai pris la peine de me lire, ça fait toujours plaisir puis, ça permet surtout de s'améliorer :d
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| | | Lusitane d'Akiléon
Messages : 26 Date d'inscription : 19/03/2012
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Ven 20 Avr - 14:39 | |
| A mon tour !
Généralement, je préfère les histoires du personnage joué davantage que les autres, car les caractères sont souvent plus creusés, l'ensemble plus cohérent, l'univers plus original, moins stéréotypé, et de ce point de vue là ton récit ne m'a pas du tout déçue. On est loin du plan un peu bateau où ça se tape dessus sans que ça ne nous fasse vibrer, ça meurt sans que ça nous fasse ni chaud ni froid, ça réagit sans qu'on comprenne vraiment pourquoi, et ça fait une histoire un peu lisse qui bouge sans nous transporter.
Je trouve tes trois protagonistes (Cronose, le forgeron et son fils) hauts en couleurs, et décrits de sorte à ce qu'on s'y attache vite, on en comprend les réactions. Ils sont tous très imparfaits, entre le jeune lycan un peu immature à l'ego encore fragile, le fils vaniteux qui se sent presque menacé avec l'arrivée de Cronose, le père distant et énigmatique... C'est ce qui les rend si intéressants, et qui fait qu'on a envie de suivre la suite du récit. Après avoir pris la peine de les creuser, l'action en prend une autre dimension.
Tu nous fais voyager dans l'univers que tu as créé et que tu décris parfaitement, alors que ce n'est pas forcément simple de faire visualiser au lecteur le cadre qu'on a imaginé et qui ne sort pas d'un environnement un peu stéréotypé. J'ai particulièrement aimé le décor que tu poses dans les chapitres 3 et 4, ainsi que la description de la ville dans le chapitre 2.
En ce qui concerne l'histoire, je trouve la trame très bonne, certes le jeune prédestiné qui part suivre un entrainement héroïque auprès d'un maître occulte pour accomplir sa mission, ce n'est pas une première, mais tu arrives à nous le faire oublier en animant cette trame générale plutôt classique par des personnages plus complexes et un univers original.
Concernant la forme, il y a quelques points qui m'ont un peu gênée.
Tout d'abord, j'ai un peu de mal avec certains de tes dialogues. Je trouve que certains manquent de force, quand on imagine les personnages prononcer certaines de ces formules, ça bloque un peu. Il y a par exemple le "tu marques un point", "vous n'êtes pas sérieux", "bref..." ou encore les "FU FU FU". D'autres tirades sont trop monolithiques alors qu'elles comportent des idées très différentes ; insérer une phrase de description des gestes du personnage par exemple pour briser ces blocs en pensées plus cohérentes serait mieux il me semble. Exemple : "Te sens-tu prêt ? Si oui, je te laisse te concentrer. Si je reste dans cette pièce, je risque d’interférer à la connexion de ton flux. Je laisse à ta disposition ces herbes et potions, pour que tu puisses récupérer rapidement après l’effort. Tâche de ne pas trop en faire, s’extirper d’une Lame Noire reste complexe et si tu t’y prends trop tard, elle absorbera toute ta vitalité jusqu’à t’amener dans le royaume des morts…" On visualiserait mieux la scène s'il était écrit par exemple : " Il me demanda si je me sentais prêt, avant d'ajouter : - Si oui, je te laisse te concentrer. Si je reste dans cette pièce, je risque d’interférer à la connexion de ton flux. D'un geste, il me montra un petit coin de la salle dans lequel il avait amassé diverses herbes et potions, me recommandant d'en faire usage pour récupérer rapidement après les efforts que je devrai fournir. Avant de me laisser seul, il m'adressa une dernière indication. - Tâche de ne pas trop en faire, s’extirper d’une Lame Noire reste complexe et si tu t’y prends trop tard, elle absorbera toute ta vitalité jusqu’à t’amener dans le royaume des morts…" Je trouve que la tirade ferait un peu moins "tirade fourre-tout" avec ce genre de formulation, dans laquelle on cherche à mettre trop d'informations en un seul morceau. Tes descriptions et tes dialogues forment deux blocs trop distincts à mes yeux qu'il serait mieux de mélanger à peu, en coupant tes longues tirades pour que ça s’enchaîne mieux.
Autre petit reproche, je trouve que tes différentes parties, excepté la dernière, finissent d'une manière qui ne génère pas un gros suspense. Certes, ton histoire est en elle-même prenante, et on a envie d'en connaitre la suite, mais c'est dommage de ne pas accroître cet effet en laissant le lecteur à la fin de chaque chapitre sur une note qui attiserait un peu plus sa curiosité, ou qui clorait le post avec une phrase un peu plus choc.
J'ai eu un peu de mal également avec la scène du combat. Elle est extrêmement bien décrite, mais je trouve que la mise en page ne la met pas du tout en valeur. Pour donner davantage de mouvement, je pense qu'il serait mieux de la diviser en plus petits paragraphes regroupant donc chacun moins d'actions. Cela dynamiserait l'ensemble et permettrait de mieux visualiser chacun des échanges qui sont, je le souligne une fois de plus, très bien racontés.
Il y a pas mal de fautes d'orthographe et d'oubli de mots sans doute dues à un petit manque d'attention, c'est dommage. Par exemple "J'échappais d’un une boule à pointe en effectuant un balayage qui renversa mon adversaire", j'ai pas compris :p
Enfin, il y a des termes qui me gênent un peu. Je n'ai rien contre les textes qui utilisent beaucoup de langage familier, d'argot (j'adore les San Antonio dans ce registre notamment), mais là l'emploi de quelques rares formules familières au milieu de ton récit dénote un peu. Il y a les "Bref, j'avais merdé", "la boulette"... Par exemple. Soit ces expressions sont vraiment régulièrement insérées dans le texte, et on se fait à la manière dont ton personnage formule ses pensées (le texte étant écrit à la première personne et Cronose étant jeune, pour ma part ça ne me choquerait pas), soit ces expressions sont absentes ; mais là, cette demi-mesure est plutôt dérangeante, on bute sur ce rare vocabulaire familier. Il y a aussi des phrases où tu utilises des synonymes inexacts, comme dans " L’homme, que je ne pouvais encore distingué, demeurait silencieux. Il patientait une réponse moins évasive, plus concrète. ". Le mot patienter s'insère mal, il aurait été plus correct de dire "il attendait une réponse moins évasive" ou "il patientait, dans l'attente d'une réponse moins évasive".
C'est à peu près tout ce que j'ai à (re)dire, et j'ai hâte de lire la suite ! | |
| | | Cronose
Messages : 67 Date d'inscription : 19/03/2012
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Sam 2 Juin - 13:06 | |
| Merci pour vos critiques ! - Spoiler:
J'ai effacé mes précédents messages, sinon ça faisait trop de répétitions..
Pour faire simple, j'en suis déjà au chapitre 16. Ce qui me permet d'avancer que la plupart d'entre-vous n'ont certainement plus le courage de suivre mon histoire, normal quoi. Mais bon pour ceux qui restent (je sais qu'il y a Trucid et Idri, après aucune idée) je voudrais juste savoir si le déroulement vous semble encore crédible par rapport à l'histoire où ça commence à dériver ? Ce que je veux dire c'est que comme l'histoire traine en longueur, il est possible que ça parte un peu... bha un peu en couille ! XD donc voilà je voudrais juste savoir si ça tient encore la route. Sur ce, bonne vac ! | |
| | | Adriano Di Marechialo Admin
Messages : 103 Date d'inscription : 29/02/2012 Age : 1060
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Lun 11 Juin - 1:10 | |
| Alors ! Je n'ai lu que le premier chapitre. Mais tu comprendras, avec le contenu du spoiler, pourquoi je ne suis pas encore allé plus loin ! Il me faut quand même dire certaines choses. J'espère que tu ne le prendras pas mal. Je ne suis là que pour faire des critiques que j'espère constructives. Elles seront, je te préviens, subjectives. Ce n'est donc que mon point de vue. Un point de vue, je me répète, qui ne se basera que sur le premier chapitre. J'ai bien aimé ce premier post. Il est assez bien écrit, quoique un peu simple. Pas de fioritures. Pourtant, ça commence avec un petit préambule un peu plus dense que ne l'est le reste. Au fil de la lecture, la densité de ta plume se dilue au fur et à mesure que ton texte avance. On sent du coup ta frénésie d'écriture qui a pris le dessus. Au début, il y a comme un effort de fait au niveau du vocabulaire. Puis on sent la plume plus simple, peut-être même moins "réfléchie" au profit de l'action et du dialogue. A mon sens, c'est un peu dommage. J'aime les tournures alambiquées, les descriptions un peu tordues, tordues et tordues encore. Mais bref, ce n'est qu'une question de goût. Les lecteurs aimant les écritures efficaces seront, avec ton texte, servis. Pour continuer, je dirais qu'il faudrait vraiment qu'un effort soit fait au niveau conjugaison (notamment l'impératif que tu ne maîtrises pas et que tu utilises pourtant souvent). Il en va de même pour les accords (participe passé en particulier) et également pour la ponctuation qui est, à de très nombreuses reprises, déroutante et casse le rythme de ton écrit. Tu utilises les virgules partout et parfois je ne sais même pas ce qui a pu te motiver à mettre une virgule là Coupe plutôt tes phrases avec plus de points. Quitte à faire des phrases courtes. Tu t'empêtres parfois dans des phrases très longues et on perd un peu le fil. Ce qui est dommage car tes formulations sont pourtant plaisantes lorsqu'elles sont bien menées. Il me semble que tu ne te relis pas assez. J'ai l'impression qu'il s'agit là d'un premier jet. Alors, de ce fait, plusieurs relectures ne seraient vraiment pas de trop. En ce qui concerne le fond, je dirais pour le moment que ce premier chapitre ne casse pas des briques. (J'ai l'impression d'être odieux en te commentant, mais je n'ai pas envie de mentir... désolé donc si je te froisse ^^') Quand je dis qu'il ne casse pas des briques, c'est qu'on retrouve le cliché du jeune impétueux à qui l'on délivre une terrible prophétie. Une prophétie qui, évidemment, pour X ou Y raisons, ne peut pas être révélée en totalité. J'espère que le fait que la prophétie ne soit pas dévoilée entièrement est expliquée par la suite. Que ce mystérieux : "Je ne peux pas tout te révéler maintenant..." n'est pas là uniquement pour ajouter une ambiance pseudo-mystérieuse. Mais, te connaissant, je ne pense pas que ce soit le cas. Je verrai donc dans les chapitres suivant Les dialogues aussi, pour le coup, souffrent de ce manque d'originalité. Mais là encore, ce n'est que le premier chapitre. Peut-être que, par la suite... Donc, en conclusion, j'ai pris plaisir à te lire. Un plaisir un peu entaché, certes, mais un plaisir quand même. J'espère que la suite réserve de bonnes surprises. Je te dirai ça ! Et désolé si j'étais un peu... dur ? ^^' Bref, pour toi, voici : - Spoiler:
Jamais l’encre n’avait pu couler sur ces pages de vélin. Nulle plume n’avait gravée (gravé) son trait dans la toile et d’aucune manière, (virgule inutile) le concerné (ne) pourrait entrevoir cet ouvrage, contenant pourtant ses multiples bravades ostensibles, traçant son histoire depuis des faits antédiluviens qui l’avaient vu naître et périr. Une icône pour les siens, une légende pour d’autre (autres). Ce qui l’en reste (Ce qu’il en reste), n’étant qu’un journal poussiéreux, sommeillant dans les rayons d’une bibliothèque illusoire, entre le temps et les cieux, les astres et l’infini…
Préambule
Quelque part, dans une dimension lointaine, mitigé (mitigée ?renvoie à dimension ? Ce terme me déroute un peu…) d’un monde aux contres logiques physiciennes, prit naissance un être issu de constitution, de chair. Une créature pour le moins primitive, mêlant la complexité d’une race pourvue de conscience à celle instinctive de l’animal. Un être insignifiant à l’égard des univers (ajouter un « mais » ?) qui mérite pourtant son lot d’attentions. Ainsi vint se narrer l’histoire d’un lycan, (Point. Faire deux phrases ? ) ainsi vint commencer le récit d’un homme que l’on nomme Croc Noir… Chapitre 1 Mystère et prophétie
La sylve de l’erreur (Sylve de l’Erreur, majuscules ), ses frondaisons filtrées d’un mince filet d’argent, voyaient naîtres (naître) en cette nuit paisible, un descendant de mère Luna. Les géniteurs, déjà réjouis d’un premier enfant, se voyaient une seconde fois gratifiés par la nature qui leur offrait un héritier, un fils. Prétendant d’une lignée maîtresse, son avenir fut tracé à peine eut-il gonflé ses poumons d’une première bouffée d’air. Il prendrait la place de son père, régnant sur la meute tel que l’incombait sa tâche , (virgule inutile) lorsqu’elle se manifesterait. A peine âgé de quelques frêles automnes, il fut amené à connaître la férocité de son monde , (virgule encore inutile) quand ses semblables se déchiraient pour quelques parcelles de terres, de territoires (répétition de la même idée. Ça alourdit). Il ne fallut guère longtemps à son esprit pour se forger une barrière de tolérance. Ce n’était pas une (d’une) enfance dont il aurait besoin, mais d’une arme , qui à défaut d’une épée, (virgule mal placée : « qui, à défaut d’une épée, serait son instinct) serait son instinct. Il fit d’ailleurs sa première dévotion un soir de pleine lune où son corps mua pour ne devenir qu’une boule de poils d’ébène, sertie de crocs et de pattes fougueuses. Lorsque sa croissance le poussa à suivre la rigueur de ses prédécesseurs, il fit l’usage de l’acier, frappant de son corps minuscule , (virgule inutile) les quelques épouvantails mit (mis) à sa disposition. On le disait le plus jeune néophyte de toutes générations confondues, mais le roi de la meute avait tranché, il serait un guerrier prématuré, à la hauteur de ses espérances. (Ponctuation déroutante. Je te propose : « On le disait le plus jeune néophyte de toute génération confondue. Pourtant, le roi de la meute avait tranché : il serait un guerrier prématuré à la hauteur de ses espérances. »)Son adolescence parvint (terme maladroit. Idée d’action subite, inopinée qui ne cadre pas avec l’adolescence. En gros, on a l’impression que l’adolescence lui tombe sur la poire sans prévenir. Ce qui est… bizarre) sur le champ de bataille, où il défiait déjà une horde cadavérique , (virgule inutile) alors qu’il ne dépassait encore que de peu les hanches de ses adversaires. Prit (Pris) d’habilité et de suffisance par ses opposants, il profita de leurs méprises, triomphant par le sang, guerrier naissant d’un univers sanglant. Les années se succédèrent, transformant le petit garçon en homme bâti mais trop jeune pour appréhender la finesse de l’esprit. Ce n’était qu’un rustre , (virgule inutile) fougueux aux idéologies infantiles. Il fit preuve d’arrogance, défiant l’autorité du roi meute, divulguant la rancoeur d’une enfance volée, présentée sous la forme d’une attitude désinvolte et culotée (culottée). Son départ fut marqué par la tragédie du destin , qui d’une certaine façon , (là encore, virgule mal placée : « tragédie du destine qui, d’une certaine façon, fut inéluctable) fut inéluctable. *** Les flammes zébraient les ombres nimbés (nimbées) aux alentours. Singulièrement, elles évoquaient la forme grossière d’un visage façonné d’horreur, provenant des profondeurs de l’enfer. Une aura sombre investissait les lieux, décontenançant la meute, stupéfiée par le phénomène. A l’exception du roi meute, dont les traits n’inspiraient rien de bon, comme si son existence redoutait cet épilogue, qu’il était bien le seul à comprendre, à appréhender à sa juste valeur. (phrase un peu longue ou du moins mal formulée qui devrait être liée plus adroitement avec la phrase d’avant) Dans le silence, il se redressa, embrassa son épouse d’un ultime baisé (baiser). L’émotion de cette preuve d’amour n’était pas commune, loin d’être élucidée par son fils qui observait la communion d’un regard humide. Puis, sans raison apparente, il fit signe à celui-ci (celui-ci renvoie au « regard humide ». Ce n’est donc pas correct étant donné que tu veux renvoyer au fils…) de le suivre. S’enfonçant dans les piliers boisés, au cœur même d’une brume imperceptible, il cessa sa progression, marquant la fin d’une marche, le menant à terme de son règne. -Croc Noir… L’appellation du susnommé , (Encore une virgule ! Mais pourquoi ? ) résonnait d’une lourde charge, d’un poids qui abrégeait l’avenir versatile du fils légitime. -Tu as encore du chemin à parcourir , ( Une virgule… --‘) avant de comprendre l’entièreté de ce que je vais t’apprendre. Aussi, je requiers toute ton attention, car jamais je ne serais (serai, car futur et non pas conditionnel…) plus sincère qu’en cet instant. Le silence rongeait les réflexions du jeune homme , qui incompris, ne savait quoi dire , face au ton solennel du roi meute. (Encore un souci de virgule, décidément… Je corrige : « Le silence rongeait les réflexions du jeune homme qui, incompris, ne savait quoi dire face au ton solennel du roi meute. » )-Notre race est au bord de l’extinction, inconsciente de ce danger dominant qui vient d’arpenter ce monde, dépassant de loin , (virgule…) l’horreur du syncrétisme… Peut-être même que le syncrétisme n’était que le (la) préface de l’apocalypse à retardement qui s’est tout juste mit (mise) en place. Pour être honnête, Croc Noir n’entendait qu’un charabia, mais sachant que la sénilité ne faisait pas partie des critères du roi meute, futé et prévenant, il l’écouta attentivement, complètement subjugué par cette conversation qui dépassait ce qu’il avait pu entendre jusqu’à ce jour. -Je crains de manquer de temps et mon rôle dans l’histoire est déjà tracé. Je suis enchainé (enchaîné), privé des réactions qui incombent à ma puissance. Puis, d’un geste il le pointa du doigt. En revanche, toi mon fils, tu n’es aucunement lié à un pacte et pourtant, une grande force coule dans tes veines. Tu es mon successeur, mon descendant. Aussi, je te demanderai une chose, n’accepte pas mon trône, car il ne tardera plus à tomber entre tes mains. Croc Noir demeurait incompris (je vois l’idée que tu veux faire passer, mais tu ne passes pas la bonne. Il n’est pas incompris, mais plutot dans l’incompréhension. Il y a une subtilité…) , n'était-ce pas le but de tous ses efforts ? D’avoir privilégié les apparences et la rigueur d’une enfance difficile afin d’être le successeur légitime du clan ? De plus, il avait déjà stipulé ne guère vouloir prendre la tête du clan, qu’il préférait vivre en toute liberté, âme désintéressée et détachée de toutes responsabilités. - Père… Sans vouloir vous offensez, je n’ai jamais voulu devenir le roi meute, bien que je ne comprenne pas où vous voulez en venir. Vous dites à tout le monde que je serais (serai) le successeur, vous mettez en application ce qui incombe à ma future tâche mais vous voulez tout de même m’empêcher de devenir ce que vous avez fait de moi. Est-ce que je suis censé y déceler un sens caché ou bien n’est-ce qu’une maudite farce ? Un sourire amusé traversa un court instant les lèvres du roi meute , (virgule inutile) qui redevint de marbre aussitôt , davantage lorsqu’il reprit la parole. (Il faudrait plutôt refaire une phrase pour faire passer cette idée. Quitte à faire une phrase courte.)-Ce n’était qu’une source de motivation , (Point) tu en avais besoin pour comprendre le sens du devoir. Mais ce n’est pas ta voie et encore moins la mienne. La succession suivra son cours, sans moi, sans toi. Il s’approcha d’un pas, saisissant Croc Noir par les épaules. Je veux que tu quittes la sylve de l’erreur (Sylve de l’Erreur), prend (prends) ta mère et ta sœur avec toi et place-les à l’abri de la guerre. Les lycans se battent pour un bout de terre, alors que mes mots se portent sur l’avenir du monde et non de la meute. Prit (pris) de colère, Croc Noir réalisait ce qu’il n’avait été, qu’un pantin, (Syntaxe incorrecte « Croc Noir réalisait ce qu’il avait été : uniquement un pantin… » Autre proposition : « Croc Noir rélaisait qu’il n’avait été qu’un pantin… » En gros, ta négation est mal utilisée) avec lequel son père avait joué depuis sa naissance pour simplement lui balancer qu’il devait tout plaquer, jeter ses efforts aux orties, sans l’once d’une considération pour la meute. C’était…. C’était… invraisemblable. -Je n’abandonnerais (abandonnerai) pas la meute, (virgule…) si c’est ce que vous voulez savoir. Je n’ai pas l’intention de vous succéder, mais je ne vais pas pour autant renier ma famille et mes proches ; (Mieux vaut mettre un point. Tu maitrises mal les virgules, évitons le massacre avec les points-virgules xD) c’est complètement insensé, vous avez perdu la tête ! Le roi meute balaya les jambes fébriles du jeune homme qui percuta lourdement la terre, allongé sur un tapis de feuilles où ses yeux vinrent contempler les iris verdoyants de son géniteur. Il le dominait sur toute sa longueur. -Silence , (Point) comme je te l’ai dis, je requiers ton attention, guère tes dénégations… Après une brève reprise de contrôle, Croc Noir capitula , (Point) son père était à l’insu de sa création mais également son plus fidèle mentor, il fallait au moins l’écouter jusqu’au bout. -La meute ne te mettra pas à l’abri du danger qui terrassera ce monde. Soit (Sois) en sûr, en t’exilant tu découvriras des périples, tu affronteras des obstacles qui dépasseront l’entendement, qui te prépareront à l’avenir des peuples. De sorte, tu seras en mesure de défendre les tiens et lutter contre le joug de cette menace , que je l’espère, (virgule mal placée : « que, je l’espère, tu parviendras... ») tu parviendra à comprendre afin d’y mettre un terme. Il se montrait assez évasif, ce qui avait le don d’irriter son enfant qui n’y comprenait rien. -Vous pourriez être plus clair peut-être, cela nous ferait gagner de précieuses minutes…-Ne soit (sois) pas insolent… De toute évidence, je ne peux pas t’en dire trop, pour ton bien et ta protection. Je te donne juste des solutions, ne cherche pas à tout découvrir si tu n’es pas préparé à recevoir l’information. -Ca me fait une belle jambe… donc vous me demandez d’être attentif sur un sujet que vous faite (faites) exprès d’expliquer de façon évasive afin que je n’en comprend (comprenne, subjonctif présent) que les directives et non le sens ?... (Point d’interrogation après les points de suspensions … ? )-Parfaitement… -D’accord… ironisa le fis du roi meute, scrutant les frondaisons afin de renforcer son expression narquoise. Cette conversation n’avait strictement plus aucun sens, ça devenait réellement ridicule. C’est pourquoi, Croc Noir se redressa, s’épousseta dans un soupir outrancier avant de reprendre le chemin qui le mènerait au camp. C’est comme si son crâne allait exploser d’incompréhension , (Point) en fait son père était peut-être bel et bien devenu sénile. Pourtant, il s’arrêta lorsque celui-ci cria son nom, en guise d’avertissement. -Croc Noir, attend (attends) !... Tu découvriras par toi-même ce que (je) ne peux me permettre de t’expliquer. Mais s’il te plait retient (retiens) juste ceci… Ne lutte pas pour la meute, les Narkanns vont gagner cette guerre , (Point) qu’importe quand elle aura lieue, c’est inéluctable. Mais ce n’est pas la cause de notre départ, tu sais que je suis un homme d’honneur et que si j’avais pu me le permettre, j’aurais donné ma vie pour le clan. -Mais alors faite-le (faites) ! Croc Noir était hors de lui, ça devenait réellement dérangeant d’entendre les supplications d’un homme qui n’avait fait que le mené (mener) à la baguette pour ensuite lui transmettre des paroles sans valeurs et dépourvues d’honneur. « Prouvez-le en tant que maître régnant des Canians ! Vous n’avez cessez (cessé) que (inutile) de promettre le triomphe de notre peuple et maintenant vous me parlez de prophétie où de je ne sais quoi, ce qui de toute évidence ne concerne aucun d’entre nous, (Point) les loups ne se mêlent pas aux histoires des autres, c’est vous même qui me l’avez appris ! »Le roi meute s’emporta à son tour mais non à l’égard de son fils, à sa situation instable qui l’empêchait de suivre ses idéologies , (Point) ce que Croc Noir ne comprenait pas à l’époque. -Eh bien les temps ont changés (changé) ! Moi aussi j’y croyais, mais c’est trop tard ! Je ne demande pas mieux que d’essayer mais je ne peux pas ! J’ai un devoir à accomplir et tout, absolument tout, m’empêche de rester ! Le monde est en plein déclin et je ne peux pas t’en dire plus car tu ne me croirais pas et tu es encore bien trop téméraire pour avaler de si graves révélations ! Je ne savais pas que ce jour arriverait si vite, voilà pourquoi j’ai songé à l’avenir de notre peuple, j’avais presque espéré qu’il n’arrive jamais, mais c’est trop tard, plus rien n’a d’importance sinon la tâche qui m’incombe. (Phrase trop longue et utilisation trop fréquente de « incombe »)Il s’arrêta un instant afin que son fils s’imprègne de ses paroles, qu’il les graves (grave) dans son cœur. « Alors s’il te plait, mon fils découvre ta voie , (Point) part (Pars) à la rencontre de Ron Berku, il pourra te mener sur le chemin que tu devras prendre, la suite viendra à toi d’elle même et surtout éloigne ta mère et ta sœur de cette guerre, connaissant la fierté dont elle fait preuve, elle ira se tuer dans la bataille et je ne veux pas être responsable de sa mort ! (De qui tu parles en disant elle ? La mère ? la sœur ? Phrase un peu floue)-Donc, je suis supposé vous croire sur parole ? C’était hallucinant, son père venait de lui définir un destin aléatoire, complètement dénué de logique sous prétexte d’un événement qui n’aurait peut-être jamais lieu, allant à l’encontre de ses principes moraux. -Nul mensonge dans ce que je viens de te dire et tu pourras un jour me remercier de t’avoir épargné de la décadence des peuples. Promet-moi (Promets) d’essayer et ne remet (remets) jamais en doute ma parole, car elle est force de véracité. *** Je me rappelle de ces mots, gravé dans ma mémoire au fer rouge, dont le sens m’échappe encore bien qu’une partie s’est avéré (avérée) fondée. J’avais la mort de ma mère sur la conscience car comme l’avait prédit mon père à l’époque, elle s’était ruée dans la bataille et en guise d’ironie, son corps était revenu, drapé d’un voile, me laissant pataugé dans les remords et le chagrin. Ma sœur quant à elle, avait disparue (disparu), peu après la tragédie de cette première bataille contre les Narkanns quiavaient été achevée grâce au soutien de la Tribu. Suite à quoi, j’avais quitté la meute, respectant la dernière volonté de mon père, celle de voyager afin de percer à jour le mystère qu’il avait refusé de me révéler. Je n’avais que pour objectif de découvrir l’identité de Ron Berku, mais les mois passant et les années défilantes (défilant, participe présent et non pas adjectif), ce but ne devint plus qu’un mirage auquel je ne me raccrochais plus, l’étouffant dans les tréfonds de mon esprit, me libérant la conscience de ma défunte mère, qui me déchirait les entrailles, dans l’aversion de mon choix qui lui avait couté la vie. (Phrase beaucoup trop longue)A mon vingtième automne, je pris conscience que le passé finissait toujours par nous rattraper. Lorsque je fis une rencontre qui m’était destiné (destinée), depuis longtemps, depuis toujours…
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| | | Cronose
Messages : 67 Date d'inscription : 19/03/2012
| Sujet: Re: Le journal d'un lycan Mer 13 Juin - 18:53 | |
| Alors Adri,
Il est vrai que ta critique peu sembler violente pour quelqu'un de susceptible (oui la plupart des gens le sont), mais je n'en fais pas partie. =-)
Aussi j'apprécie ta franchise et j'ai réfléchi à ta critique... qui me ramène à une réflexion que j'ai depuis longtemps.... Il serait peut-être temps pour moi de revisiter quelques règles de français ! xD
Enfin, surtout en ce qui concerne la conjugaison. C'est une lacune que je n'ai jamais corriger, mais il faut dire aussi que je me vois mal aller dans un vieux livre de français et me prendre la tête à faire des exercices. Je pense que si on me l'expliquait, à force d'y faire attention, ça finirait par rentrer. ^^
Bref ! ce n'est pas l'intention de mon message. Là où je voulais en venir c'est qu'effectivement, le déroulement du chapitre commence avec plus de soin pour s'effriter tout doucement vers un style beaucoup plus simple. Je l'ai aussi ressenti d'où le sentiment de dérangement que j'ai à l'égard des chapitres que j'ai postés plus tôt. (oui ils sont plusieurs à être torché sans relecture...) Néanmoins, j'accorde une plus grande importance au fond qu'à la forme, je crois que tu me connais assez maintenant pour t'en être rendu compte. Donc, lorsque j'écris, j'ai une fâcheuse tendance à me précipiter pour toujours aller plus loin, progresser dans l'ascension de l'histoire. C'est donc de là que viens mon problème de changement radical de vocabulaire, de syntaxe, etc. c'est un manque de travail, en gros du bâclage.
Je pense d'ailleurs modifier mes textes voir supprimer des parties pour carrément les refaire car en effet, j'attache tout de même aussi de l'importance à la forme. (Comme quoi en vieillissant, on gagne un peu en rigueur) xD
Donc pour être honnête, "la plume qui se dilue dans la médiocrité" (le terme est un peu rude mais bon je suis trop crevé pour réfléchir) c'est un point de vue que je partage avec toi. Je le fais à plusieurs chapitres donc si tu es vraiment dérangé par la "bavure" de mes écrits tu peux t'arrêter là et je te préviendrais quand ils seront modifiés. Que du contraire, si tu tiens à poursuivre j'espère au moins que le fond te séduira. Personnellement c'est ce qui me donne encore la motivation d'écrire cette biographie bien que mon manque de rigueur m'a un petit peu découragé à continuer. (En tant que perfectionniste passif, je me dirais toujours que j'ai laissé derrière quelque-chose que j'aurais pu mieux faire, au lieu de le rédiger en prenant la peine de m'appliquer).
Donc voilà, si ça peut te rassurer par rapport à ton dernier mp, non je ne te boude pas, je suis juste débordé par les exams et j'ai pas pu voir ton message plus tôt xD
A part cela, si tu comptes lire la suite sans attendre mes modifications qui risquent de s'éterniser un peu, je veux bien que tu me donnes des détails comme tu l'as fais ci-dessus. Je trouve ça plutôt instructif et enrichissant. Après, je sais que t'as dû te prendre la tête donc n'y vois pas une requête, mais c'est juste que j'en tiendrais compte.
Donc voilà j'ai fini mon super monologue... XD Sinon garde ta franchise, ça reste une qualité ne l'oublions pas !
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| Sujet: Re: Le journal d'un lycan | |
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