Nom et/ou Prénom et/ou Surnom : Eric Dugalop
Age :22
Sexe : homme
Ethnie :Humain (Lysimaque)
Métier ou Statut : Dresseur de chevaux
Description caractérielle :
- Posé
- Intelligent
- Humble
- Solitaire
- Ouvert d’esprit
Description physique :
- Yeux brun
- 1m80
- 70 kilo
- Cheveux brun foncé
- Habillement sobre
- Petite barbe de deux jours
- Longue cicatrice dans le dos
Équipements et vêtements :
- Longue cape brune
- Arc long
- Carquois de trente flèches
- Rapière elfique
- Équipement d’équitation
- 15m de corde
Compagnon: Elros, un puissant étalon Noir corbeaux zain. Une rumeur en Lysimaque a donner à Elros le titre de plus beau cheval de tout Céleste. Cependant Éric ne cherche pas à propager cette rumeur car il trouve ce titre futil et impossible a vérifier.
Comment avez-vous connu Céleste Fantaisie : Top site
Histoire :
Peu de choses à dire sur Éric, Fils de dresseur de chevaux il a repris le flambeaux.
Mémoires :
Deux jours que le jeune dresseur et son étalon galopaient avec empressement vers Lysimaque. Deux jours que le jeune duo ne s’était pas laissé de repos réel, allant à vive allure avec une cargaison des plus précieuses. En effet, le jeune spécialise des équidés avait du se rendre avec hâte en territoire elfe, dans la grande cité de Prudence pour être plus précis.
Remettons les événements dans leurs contexte, toute cette aventure avait débuté il y a plus de deux semaines, où le cheval qu’un noble faisait dressé par le jeune éleveur très réputé dans le duché de Lysimaque était tombé près de la mort, touché par un mal étrange. Incapable de guérir la future monture royale il partit à toute vitesse vers le pays des elfes, cherchant conseil auprès de son mentor Firian. C’est ensemble, grâce à un prélèvement de sang que le jeune dresseur avait fait avant son départ, qu’ils découvrirent la source du mal, une magie que l’elfe connaissait bien.
Le remède lui avait couté toutes ses économies, trente-cinq Louises D’or pour être plus exacte. Cependant, il aurait dépensé cette somme pour n’importe quel cheval sous sa tutelle, voir n’importe quel cheval tout court. Ce métier était une passion avant tout pour le jeune homme et la santé de ce que plusieurs voyaient comme de vulgaires bêtes de somme était de la plus haute importance.
C’était donc avec le remède en sa possession qu’il filait vers Lysimaque, sous les reflets de la Lune. Sous cette pâle lumière, Elros semblait être une ombre, ses crins noirs comme la nuit semblaient absorber toute la lumière ambiante pour créer une noirceur magique. Bien sur aucune magie n’était à l’œuvre, seulement une illusion d’optique du au majestueux pelage onyx qu’il possédait. Plus d’une fois Éric avait pu forcer l’allure de nuit grâce à cette caractéristique naturelle du puissant étalon.
-Allez petit frère, plus que quelques heures et nous nous reposerons! Enfin, toi tu te reposeras. Allez, accélérons le pas!
Sans hésiter Elros doubla sa vitesse, galopant de plus belle à la demande de son maître qui était si proche de lui. Éric n’avait pas choisit l’étalon pour sa rapidité fulgurante, son endurance et sa robe, il l’avait choisi bien avant de connaître le puissant destrier qu’il allait devenir.
C’est au pays des elfes qu’Elros est né. Le même jour, le jeune Éric débutait sa formation au près de Firian. Le vieil elfe, qui avait l’habitude de donner un cheval à chacun de ses élèves, fut amusé par cette coïncidence, surtout qu’Elros ne devait naître qu’une semaine plus tard. Avec le temps, le jeune dresseur devint très talentueux dans son domaine, mais la relation que les deux êtres créèrent ensemble dépassa toutes les attentes. En effet, le lien entre les deux êtres devint des plus fraternel. Le duo n’avait même pas besoin de parler pour se comprendre, pour ces deux là les mots n’étaient qu’une habitude sans plus. Rapidement Elros se mis à faire des crises de jalousies lorsqu’Éric montait un autre cheval, il fallut plusieurs années avant que celui-ci accepte le travail de son frère de cœur. Paradoxalement, l’étalon n’a jamais accepté un seul autre cavalier et le jeune humain n’a jamais réussit à lier un lien proche avec un autre cheval. Bien que chaque monture sous sa tutelle devient extrêmement importante pour lui jamais il n’a franchi la limite psychique comme avec Elros.
Sur cette pensée les frère arrivèrent au Lysimaque, bien sur depuis que le jeune dresseur était de retour les gardes s’étaient habitués à l’allure unique d’Elros et avait été avertit du retour de celui-ci, rapidement la grille fut levée et le jeune homme s’empressa de se mettre à l’ouvrage pour sauver la monture si précieuse aux yeux du Duc, cette jeune jument blanche comme la neige devait survivre et reprendre des forces.