Nom et/ou Prénom et/ou Surnom : Barry Toothpick, alias "Face d'Orc" ou encore "le Cure-dents".
Age :38 ans
Sexe :Mâle
Ethnie :Hommes
Métier ou Statut :Garde du corps, Mercenaire (si vous avez assez de Louise d'Or, il fera tous ce que vous souhaitez, tant que ça inclue de la bagarre).
Description caractérielle : * Franc
* Bagarreur
* Téméraire
* Impulsif
* Vulgaire
* Assez Malin
* Sans Merci (ni de rien)
* Assez Pieux (suit un culte Orc méconnu)
* Solitaire
* Déterminé (quand il a un contrat, il fait tout pour le respecter)
* Loyal (surtout envers sa "famille")
Description physique :* Cheveux châtain et descendant sur le haut de la nuque rapidement coiffé en arrière
* Mâchoire carrée
* Barbe de trois jours
* Yeux verts-bleus
* Plutôt grand et musclé
* Corps bardé de cicatrices
* Partie droite du visage complètement défiguré
Équipements et vêtements : ( sous forme de liste de mots également, exemple: )
* Un chapeau en feutre brun et usé
* Une veste grise et courte avec deux rangées de huit boutons en fer, une poche extérieure sur le torse (fermée par deux bouton en corne) ainsi qu'un un col droit.
* Une côte de mailles portée sous la veste fermée.
* Une ceinture en cuir avec des rajouts permettant d'accrocher un fourreaux et un autre objet à manche fin
* Un pantalon en lin Gris, usé et avec une bande écarlate d'un pouce de large qui longe chaque manche sur la partie extérieur de la jambe.
* Des bottes en cuirs noir et usées montant jusqu'en bas du genou
* Une épée bâtarde (à une main et demi) de conception simple (garde en léger V, manche entouré d'une grippe en cuir brun). Ses seules caractéristiques personnelles sont un pommeau rond avec une tête de sanglier avec d'immenses défenses gravé dessus et une feuille de chêne gravée à l'embase de la lame. Son fourreau est sombre et rouge foncé
* Une hache de lancé avec un manche en bois entouré d'une lanière cuire rouge
* Un paquet d'étranges herbes séchées qu'il enroule et fume
* Deux petits silex.
Particularités magiques :La lame de Barry coupe...non, ce n'est pas magique, mais ça lui suffit.
Comment avez-vous connu Céleste Fantaisie :En errant de site en site.
Mémoires :Quelle galère, vos amis et vous pensiez vous retirer quelques temps au nord de Darn Abart afin de vous couper des intrigues et des tumultes des grandes cités. Malheureusement, l'auberge dans laquelle vous avez pris une chambre fut attaquer par ses abominations que sont les Orcs. Comme dans les histoires pour faire peur aux enfants turbulents de la ville, les êtres monstrueux à la peau émeraude ont tous détruis sur leur passage. Vous vous êtes alors caché pour leur échappé, mais vos compagnons n'ont pas eut cette chance. Seulement, au lieu de les abattre, les Orcs les emmenèrent avec eux. Pensant alors qu'il restait une infime chance de survie pour vos amis, vous partez dés le lendemain pour le village le plus proche. Là-bas, vous allez demander de l'aide aux autochtones, mais sans succès. Ils pensent tous que vos camarades sont maintenant dans une marmite en train de cuir. Malgré leurs paroles, vous vous accrochez à l'infime espoir que vous avez et vous vous dirigez vers la taverne la plus proche. Une fois entré, vous avez à peine le temps de reprendre votre souffle qu'un vieil homme vous interpèle :
"Hey ! Toi là...Oui toi. Y paraîtrait que tu cherches quelqu'un pour t'accompagner dans le territoire des Orcs et retrouver tes camarades perdus ? Eh bien, même si je salue ton altruisme, je crois que tu ferais bien de retrouver la raison d'abord. Enfin, tu m'as l'air aussi déterminé que notre bonne reine quand elle a créée l'Ultime Alliance et, tu as beau avoir perdu la boule, je veux bien te renseigner. Allez assied-toi donc avec moi et paie-moi un coup à boire, parce que nous allons tous les deux en avoir besoin."D'abord méfiant, vous réalisez bien vite que vous n'avez pas assez de temps pour tergiverser et que, après toutes les émotions que vous venez de vivres, un petit verre vous aiderez sûrement à tenir le choc. Vous vous installez donc à la table de l'inconnu en fourrant la main dans la bourse que vous avez réussi à garder sur vous. Vous en sortez quelques Louise d'or que le gérant de l'établissement ne tarde pas à convertir en pichet de bière. Une fois votre interlocuteur édenté servi, vous lui demandez s'il connait une ou plusieurs personnes susceptibles de pouvoir vous donner un coup de main. Après avoir savouré sa première gorgée d'alcool, le vieillard vous répond :
"Ouep, je crois connaître le type idéal pour ce genre de mission suicide, à condition que tu ais la monnaie pour, parce qu'il n'acceptera pas de jouer au bon samaritain gratuitement. Cela dit, c'est peut être le seul homme dans le coin avec qui tu pourras sortir vivant de Raakghar et tu sais pourquoi ? Parce qu'on raconte que, quand il était petit, ses parents l'ont trouvé tellement moche qu'ils l'ont abandonnés à la frontière avec, pour simple moyen de défense, une épée trop grande pour lui. D'ailleurs quand tu vois la tête du gaillard, tu les comprends. Là bas, les rumeurs disent qu'il a été trouvé par une tribu d'Orcs à peine moins barbare que les autres, un clan avec une tête de sanglier comme emblème. Et, tiens toi bien, au lieu de le zigouiller ou le bouffer, les peaux vertes l'ont pris pour l'un des leurs et l'ont élevés. Comme quoi, leur stupidité n'est pas usurpée."Devant les informations de l'homme, vous restez bouche-bée, autant frustré par le précieux temps qu'il vous fait perdre qu'incrédule face aux rumeurs d'un homme élevé par les abominations de Raakghar et ceux pendant la Guerre de Mille Ans. Respirant profondément afin de garder votre calme, vous tentez d'en savoir plus sur l'inconnu qui pourrait vous aider, mais de manière plus concrète, comme sa localisation ou son nom. Toutefois, votre interlocuteur, qui finit son verre d'un trait, semble parti dans un nouveau délire :
"Par contre, personne ne sait comment il est revenu à la civilisation et a gardé une intelligence à peu près normal. Moi, je parierai qu'il s'est barré quand ses parents adoptifs ont tenté de le marier à une Orc femelle. Enfin, toujours est-il qu'une fois payé, il serait près à faire le funambule au-dessus de l'Échine des Morts ou à faire face à une escouade de peaux verte sans trembler d'un pouce. Enfin, ça je pense que c'est à cause des drôles herbes séchées qu'il s'amuse à allumé avant de les mettre dans sa bouche. Il paraît qu'il trouve ces trucs de l'autre côté de la frontière, autant dire que ça doit être mauvais, comme tout ce qui sort de là-bas."Enfin une ouverture dans le nouveau monologue du vieillard. Vous n'hésitez donc pas et vous lui demandez immédiatement où se trouve l'homme dont il parle. Alors qu'il se ressert un nouveau verre de bière, votre interlocuteur vous montre du doigt un homme qui vient d'entrer dans la taverne. Ne voyant que son profil gauche, vous vous dites que les rumeurs raconté par l'autre ivrogne étaient grandement exagérées. Non pas que son profil marqué par les voyages étaient séduisant, mais il avait son charme, sans parler de son accoutrement, sa main posée sur le pommeau de son épée et sa démarche lente qui lui donne un petit air mystérieux ainsi que sombre. Tandis qu'il se dirige vers le comptoir, vous vous levez alors pour tenter de lui parler, mais, étrangement, quelque chose, un malaise intérieur, vous retient. Serait-ce la peur ? La timidité ? Peu importe, vous essayez de lutter contre, les vies de vos amis sont en jeu. Voyant dans quel pétrin vous êtes, le vieil homme décide de vous donner un coup de main en interpelant le nouvel arrivant :
"Hey ! Barry Face d'Orc ! J'ai un client pour toi !"Dans un soupir mêlant fatigue et agacement, le mercenaire finit par se tourner vers vous. C'est à ce moment que vous comprenez d'où venait votre sentiment malsain. Vous êtes comme paralysé par la moitié du visage défiguré que le dénommé Barry vous offre. Son œil droit, plus grand et rond que l'autre, dont le blanc est rougie par la poussière, vous fixe sans discontinuer. Même sa paupière ne semble pas vouloir se fermer quelques millièmes de seconde pour interrompre son regard froid. Et la moitié de sa bouche, figée dans un rictus à la fois malsain et plein de rage, ne vous rassure, mais alors pas du tout. Pas à pas, il se rapproche de vous et vous lutter pour ne pas fuir, pour vos compagnons. Finalement, il finit par vous interpeler de sa voix rauque et directe :
"Qu'est ce que vous me voulez ?"A partir de là, vous avez le choix. Qu'allez-vous lui répondre ?