Nom et/ou Prénom et/ou Surnom :Nifheel Khaleesi Leatitia
Age : 24 ans
Sexe : Femme
Ethnie : Humaine
Métier ou Statut : Fille d'aubergiste fortuné qui devra reprendre l'établissement à sa mort, et fille de grande magicienne travaillant au service de sa majesté.
( Là, j'aurai plutôt mis : 'Fille d'un aubergiste dont elle devra reprendre l'établissement à sa mort et d'une magicienne au service de sa majesté' mais l'avis est purement subjectif )
Description caractérielle :
Grande sentimentale, confiance en sois.
( soi ) Change facilement de décision, réussite.
Joue avec le destin, taquine
Surmonte les difficultés, victorieuse
Description physique :
* Grande
* Yeux qui change de couleur selon les sentiments : ce qui se rattache à la colère, rougeoyant
( rougeoyants ) ce qui se rattache au plaisir, bleutés
* Cheveux brun
( bruns ) , peuvent blondir au soleil.
* Peau pâle
Équipements et vêtements :
* Corsé
( corset ) de cuir
* Chemise bouffante
* Pantalon de cuir
* Bottes cloutée
( cloutées ) * Épée courte
* Violon
* Bourse remplie
Particularités magiques : Encore inconnu
( inconnues ) , maitrise du feu et de la glace.
Comment avez-vous connu Céleste Fantaisie : De la Pub sur Feleth
Mémoires :
Cette nuit, cette nuit sera la dernière ici, et pourquoi cela ? Car la vie s'arrête à cet endroit, pour qui ? Tout ceux qui y ont naquit. A l'extérieur, la pluie, froide et bruyante frappait de son poids les toits et les rares pavés de la grande place,
( mettre un point ici peut-être ? ) autour, il n'y avait que boue et gravas de pierres mouillée. A l'intérieur, les bougies consumaient leurs cires brûlantes
( je ne pense pas que les bougies consument la cire, mais plutôt la mèche, la chaleur faisant alors fondre la cire, mais je chipote là ) , les flammes dansaient, dansaient sur le rythme effréné que leur donnait le violon,
( mettre un point ici peut-être ? ) le cœur des hommes étaient chauffés par leur alcools, et celui des femmes, chauffé par les bras, les mains et les langues baladeuses,
( point ? ) ici, à l'abri du froid extérieur, nous étions, chez lui. Lui ? Le père de Khaleesi, nommé Ron, surnommé, Le Chef. Il était large d'épaule, de longs bras musclés, des mains géantes et terrifiante à la force d'un bœuf, pouvant avec une telle facilité briser le crâne de n'importe quel être, le regard tantôt froid, tantôt chaud,
( point ? ) il aimait voir les autres s'amuser, et travailler
( travaillait ) dur pour cela,
( point ? ) lui-même ne s'amusait pas beaucoup, debout derrière le comptoir à récolter l'or qui commençait à tomber du comptoir sous la gloire de cette fête. Que célébrons-nous
( célébrions-nous vu que tout le reste du texte est au passé ) ? Le mariage de notre chère protagoniste.
Assise sur une chaise, le corps nue
( nu ) et gelé, seule dans sa chambre, la porte s'ouvrit doucement et laissa apparaitre sa mère, une magnifique femme blonde à la peau translucide, les yeux bleus, un air riche et célèbre tatoué sur son visage d'ange,
( point ? ) elle arrivait avec une robe de mariée magnifique, bombée au niveau des fesses et des hanches, blanche avec des décorations baroques. Se levant dans la plus profonde antipathie, elle se fit habillée
( habiller ) par sa mère,
( point ? ) cela lui rappelait son premier mari, à ses
( "épousé à l'âge de" sonne mieux je trouve ) treize ans, une brute épaisse qui lui avait volé sa virginité de la façon la plus brutale possible,
( point ? ) sa peau frissonna, et son corps devint encore plus frais à se
( ce ) souvenir douloureux qui la
( lui qui se rapporte au souvenir là ) fit croiser les jambes. Sa mère comprenait et elle déposa ses délicates mains sur les épaules glaciales de Khaleesi, y déposant par la suite un baiser :
-
Ma fille, saches que maintenant tu es grande, et que tu te dois d'avoir un homme riche pour vivre et survivre.-
Vous êtes d'une cruauté infâme.. Pourquoi ne pas me laisser choisir un homme convenable ? ( J'enlèverai le ? ici, pour mettre tout en une seule question ) Qui ne me prendra pas pour épouse pour ma poitrine ?-
Si tu savais quel pouvoir peut avoir une poitrine sur un homme, tu ne dirais pas ça.Pendant ce temps, la fête continuait en bas, dans cette grande pièce remplie de tables et de chaises,
( point ? ) beaucoup de personnes s'y trouvaient : les gens habituels, qui venaient boire chaque soirs
( soit mettre un 's' partout, soit nulle part ) , les personnes en
( 'à la' plutôt que 'en' ) recherche d'un trou à combler pour leur propre satisfaction, ceux qui venaient de loin et ne recherchaient que la tranquillité d'une bonne bière au chaud, et puis, les derniers, les invités, disons ... Pratiquement toute la bourgeoisie du village
( Un village qui dispose d'une bourgeoisie n'est plus trop un village mais plus une ville, non ? ) . Ils étaient tous maquillés, déguisés, bien habillés, en robe, en cuir, en soie, de grands chapeaux, des plumes, des chaussures brillantes, un parfum vomissant d'un excès d'appui pour cacher l'odeur de leur dernière douche qui remontait à l'année d'avant,
( point ? ) ils étaient tous tellement méprisant.. Depuis toujours, Khaleesi ne rêvait que de voyager, découvrir le monde, transmettre sa musique. Quand soudain, la musique s'arrêta,
( point ? ) une porte, en hauteur s'ouvrit, laissant apparaitre la jeune femme en tenue, magnifique, d'une démarche assurée, s'approchant des escaliers dans un tap tap de ses talons haut sur le bois. Prenant les marches une à une jusqu'à prendre la main que lui tendait son promis... Bon dieu.. Ne serait-elle jamais comblée par un homme beau et fort ? Aventurier et courageux ? Non.. Bien sur que non.. Il fallait que ce soir
( soit ) un moustachu, riche, maquillé, avec un chapeau immense, des manières et une odeur de parfum totalement irrespirable tellement elle était forte. L'humaine fixa la salle de ses yeux rubis, l'intérieur de ses pupilles semblait danser au rythme des flammes des bougies qui, s'éteignaient petit à petit au file
( 'au fur et à mesure' irait mieux ) que notre jeune protagoniste avançait dans la salle,
( point ? ) la cire se figeait sous une étrange couche de glace, la pâleur
( son teint peut-être, pas sa pâleur ) du compagnon devenait légèrement bleutée
( bleuté du coup ) ,
( point ? ) il marchait mal, comme un pantin, ses membres semblaient engourdis, un froid étrange semblait enlacer les Hommes de la pièce, le grand feu de bois au centre était éteint, et le père, au fond, avait un sourire satisfait au coin des lèvres.
( remplacer cette série de virgules par des points ? ) La mère, cependant, reconnaissait familièrement ce qu'il
( qui ) arrivait, et sentait une forte aura couvrir la sienne petit à petit.
Le corps de l'homme prit soudainement feu du côté droit, provoquant un crie
( cri ) d'appel à l'aide, tandis que son côté gauche se congela, l'obligeant ainsi à rester immobile dans sa seule souffrance, alors que son épouse, était la, à regarder,
( point ? ) les flammes brillèrent dans ses yeux, un sourire de joie étirait ses lèvres, alors qu'au loin, on entendant
( entendait ) le père murmurer.
-
Oui.. Déchaine ta rage.. Car tu en a ( as ) la capacité, tu es de mon sang... Tu peux vaincre.. Bats toi.. Et vie ce que tu as toujours voulu.La mère hurla en attrapant sa fille, la poignardant dans le ventre avant de la jeter violemment contre le mur, criant à la foule que c'était une sorcière,
( point ? ) "au bucher !" cria la mère, "AU BUCHER !!" cria la foule, puis ils la prirent, la trainant par les bras, ses talons raclant le sol tel un vieux sac que l'on traine derrière sois
( soi ) , son sang noir coulait le long de sa peau fraiche et tâchait sa robe blanche,
( point ? ) elle fut attachée à une poutre de bois avec une ficelle
( corde plutôt que ficelle, surtout si on veut qu'elle soit solide ) solide, puis ils commencèrent à placer du petit bois tout autour,
( point ? ) tout le monde admirait le spectacle, acclamait, hurlait, jurait et j'en passe.
Les yeux mi-clos, la tête basse, ses longs cheveux pendant le long de son corps maintenant faible, elle aperçut néanmoins la
( sa ) mère venir, une torche la main.
-
Ce soir mes amis, brûlons cette femme, qui fût ma fille ! Et dont je ne pensais pas capable d'être une sorcière ! Brûlons la tous ! Pour qu'elle ne puisse tuer quiconque présent en cette heure ! Brûlons la ! Pour un monde saint ! Ou le mal doit être éradiqué ! ( Dans cette partie du dialogue, tu fais des phrases plus courtes que j'aurais vu longue moi, pas saccadées de points d'exclamation ) La foule acclama les paroles de la mère qui mit feu aux brindilles, les brindilles aux petits bois, les petits bois aux buches, et les buches à la robe. Peu de temps après, les premiers cries
( cris ) de douleur se firent entendre de la
( de la part de la ) sorcière, hurlant à la mort de toutes ses tripes qu'elle ne la prenne pas tout de suite, qu'elle avait enfin, enfin découvert le moyen de vivre sa vie comme elle l'avait toujours voulu,
( point ? ) cependant, la mort.. Ne voulait rien savoir... Et petit à petit sa peau commença à brûler, les hurlements de terreur se firent d'autant plus grands, les appelles
( appels ) à la mort plus puissant, la douleur effroyablement supportable
( insupportable non ? ) , jusqu'à ce que la chaleur se dissipa
( l'utilisation du passé simple ici me gêne ... si on respectait la concordance des temps, je PENSE que l'on mettrait dissipasse mais pas sur du tout ) peu à peu.. Les flammes recouvrirent l'ensemble de son corps,
( point ? ) était-ce la fin ? L'absence de douleur ? Serait-ce une compensation pour toute cette vie minable ? Une mort douce ? Non.. Certainement pas... Les liens cédèrent finalement, laissant tomber le corps brûlant de la jeune femme sur le bois consumé, rampant jusqu'à la terre,
( point ? ) le feu commença à pénétrer la blessure dans son ventre, et, dans la plus incroyable des plaintes au Dieu des Dieux
( Le Dieu des Dieux, je suis pas sur qu'il existe sur Céleste, sauf si c'est une croyance propre au personnage ou au narrateur ) , les flammes jaillirent de ses mains, brûlant la populace qui hurlait sous la surprise, courant se réfugier,
( point ? ) mais rien à faire, le feu consumait les moindres parcellent
( parcelles ) de la terre, provoquant des hurlements généraux, et des cries
( cris ) d'agonies
( agonie ) .
Couchée au sol, gisant entre son corps qui brûlait toujours, et son entaille au ventre qui rejetait tout le sang de son antre
( je conçois assez mal l'utilisation du verbe gésir ici ... Tiraillée peut-être irait mieux ? ) , elle vue
( vit ) , les cadavres calcinés tomber, une marre de sang ou
( où ) baignaient des morts, et même des vivants, des os noirs couvrant les pavés blanc
( blancs ) , des corps à la chair troué
( trouée ) , des femmes, des enfants qui servaient de torche,
( point ? ) doucement, le noir de ses pupilles recouvrait la lumière des flammes,
( point ? ) doucement, la vie semblait la quitter face au violon qui l'avait toujours accompagné, gisant lui aussi au sol,
( point ? ) la pluie, recommença soudainement à tomber
( Ah, elle s'était arrêtée ? Je ne crois pas que tu l'aies précisé ) .. Froide.. recouvrant et tamisant les ombres rouges dansante
( dansantes ) , et puis.. Sa vue se brouilla.. Lentement, jusqu'à ce qu'elle ne pu
( puisse plus ) voir que de simples taches de couleur avant.. Le noir.. Complet et vide.
(à suivre, en rp...)